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Abstract
—1— Ltaugnentation apparente de la fréquence des grossesses
extra—utérines (G.E.U.) peut actuellement gtre rapportée a trois grands facteurs
— Ia multiplication des annexites avec la recrudescence des genies connus et des genies nouveaux, surtout le chlamydia,
— l’endometriose,
— et surtout l’augmentation du nombre des actes de chirurgie plastique.
Isa rnicrochirurgie a donné un grand espoir de meilleur résultat dans les stérilitds tubaires, aussi bien dans les plasties terminales, médianes, ou les réimplantations, que dans la demande de déstérilisation qui semble augmenter.
Cependant le diagnostic de (LE.U. est plus facilement évoqué et confirmé du fait qu’il repose sin’ un faisceau d’arguments plus probant qu’autrefois, a savoir le dosage de la beta H.C.G., ].‘échographie et la pratique plus facile de la coelioscopie, sur— tout quad ii existe des causes favorisantes connues.
Notre observation qui concerne une patiente âgée de 35 as, se particularise par plusieurs points
— grossesse tubaire menée jusqu’à. 37 semaines, sin’— venant aprés deux interventions plastiques pour stérilité tubaire (microchirurgie),
— rupture prématurée des membranes a 22 semaines d’ améncrrhée,
- césarienne enf ant vivant présentant des déf or— mations.
Cette observation nous permet de resituer la place de la plastie tubaire avec ses avantages et ses inconvénients, car malgré un enf ant vivant nous nous sommes trouvés face a des problémes orthopddiques néonataux qui peuvent inciter a plus de prudence.